A LITTLE GAMBLING IS FUN WHEN YOU'RE WITH ME ft. Tristan & Pasha-Luz

« C'est ce que les autres m'ont dit avant de m'abandonner peu de temps après. Je n'ai besoin de personne car un jour on est tous condamnés à tout abandonner. » Il disait ça, mais elle n'était pas comme les autres. Elle n'allait pas le laisser tomber. C'était son ami et il le restera. Elle tenait à lui et elle ne voulait pas que leur amitié cesse d'exister. Il n'y avait aucune raison à cela, et de toute façon, ce n'était pas ce qu'elle souhaitait. « Alors je n'ai jamais eu d'amis ! » Elle lâcha un petit soupir de compassion. Il n'a pas eu une vie facile et cela semblait lui peser lourd sur le coeur. Elle voulait être là pour son ami, l'aider à aller mieux psychologiquement, à retrouver la forme et le sourire. « Je n'aime pas me mentir donc je ne me mentirai pas : je ne m'aime pas. Ce n'est pas toi qui fera changer les choses. » Elle le regarda fixer le sol et passa sa main dans son dos, comme une maman le ferait pour réconforter son enfant, comme une amie le ferait pour réconforter un ami. « T'es peut-être mignonne mais t'es pas encore magicienne ! » Il rigola. Elle le suivit. C'est vrai qu'elle n'était pas magicienne, mais elle l'aurait voulut. Elle aurait pu changer beaucoup de choses chez Tristan, en commençant par faire de sa vie quelque chose de meilleur, de plus positif.« Ah ma Princesse, tu dis n'importe quoi.... » Il soutenait toujours l'idée qu'il lui avait gâché sa journée, hors ce n'était absolument pas vrai. Elle adorait passer du temps avec lui, et même la petite discussion mouvementée qu'il venait d'avoir n'avait pas été très agréable à dire et à entendre, la journée était formidable. L'orage était passé, le soleil arrivait. Il alla chercher des glaces, puis avec la sienne, Pasha-Luz s'en mit pleins sur les lèvres et lui dit que c'était son nouveau rouge à lèvre. Le jeune homme éclata de rire. « Ah non, mais j'avoue t'es magnifique, ça fait ressortir ta peau ! » Elle rigola. « Tu vois, il est à la pointe de la mode ! » Il prit sa glace au chocolat et s'en tartina sur le visage. Pasha fit un sourire étonné tout en rigolant. « Et moi ? Maintenant appelle moi l'homme chocolat ! » Elle rigola de plus belle. « Je vois que tu as beaucoup bronzé en quelques secondes, l'homme chocolat ! » Puis Tristan pris un peu de glace sur les lèvres de Pasha avec son doigt et il gouta. « Hum, elle est trop bonne ta glace ! Tu veux goûter de la mienne ? » Il s'exécuta de suite, sans l'avis de la demoiselle et il étala un peu de sa glace au chocolat sur tout le visage de Pasha. Elle fut surprise et rigola de plus belle. « On est les plus beaux ! » Se mit-il a crier dans la rue. Tout le monde les regardait. Mais ils n'en n'avait rien à faire. Ils s'amusaient comme des petits fous, et personne ne pouvait leur enlever cela !« C'est pour ça que je t'aime et que je ne te laisserais pas tomber ! T'es un gars exeptionnel et je suis heureuse de t'avoir rencontré, l'homme chocolat ! » Elle rigola. Elle était vraiment sincère. Ils s'entendaient bien tous les deux, ils s'étaient bien trouvés. Ils arrivèrent ensuite à la maison de Tristan. Ils étaient sur le palier, Tristan sortit ses clés de son sac pour ouvrir la porte d'entrée de la maison. Pasha leva les yeux devant la grande bâtisse. Elle avait déjà fait ce geste plusieurs fois auparavant, mais elle ne se lassait pas de regarder cette superbe maison. « Elle est juste magnifique ta maison ! » Il ouvrit la porte. Elle entra en se précipitant. « Le dernier dans la salle de bain est un gros nul ! » Elle se mit à courir comme une gamine de cinq ans, esquivant les objets qui se trouvaient sur son passage. Elle rigola. Elle était tellement contente à ce moment là.

« Merci pour tout. Merci d'être là. » Il lui fit un petit sourire. Elle était contente d'être à ses côtés, de l'épauler. Il avait besoin de quelqu'un et elle était là, même si elle ne pouvait pas lui donner tout ce qu'il aurait voulut avoir. Puis la jeune demoiselle décida de se tartiner les lèvres avec sa glace. Cela la fit rire et fit également rire Tristan. « Arrête, je suis jaloux ! » Elle rigola de plus belle. C'était véritablement une belle amitié entre Tristan et Pasha-Luz. Puis à son tour, il se tartina le visage de sa glace au chocolat. Ils s’esclaffèrent. « Bah moi c'est mon nouveau auto-bronzant de chez Sephora, c'est mon patron qui me l'a offert car j'ai battu mon record, j'ai ramené 26 clientes en moins de 6 minutes. » « Ah, et bien bravo félicitation pour les 26 clientes ! » Elle l'applaudit et s'inclina vers lui. « Mais bon, ton patron a choisis la mauvaise couleur ! » Puis Pasha fut tartiné de glace au chocolat par Tristan qui l'attaqua à toute vitesse. Il se mit à courir. Elle lui courut après pour le rattraper. Puis il se retourna, attrapa Pasha et la serra fort dans ses bras. Elle adorait les calins. Puis il lui attrapa la main et se mit à courir. Elle fut obligé de le suivre dans sa course folle.« Ah j'aime ça ! » Puis il se mit à éclater de rire. La jeune femme fronça les sourcils tout en continuant de courir, tenant sa main. Elle ne comprenait pas ce qu'il lui prenait. Puis il s'arrêta et s'appuya contre un mur, il semblait fatigué mais rigolait de plus belle. La jolie jeune femme le regarda, elle souffla elle aussi. « Y avait mon patron, fallait bien que je me cache, je crois pas qu'il m'ait vu ! J'ai eu chaud. » « Ah d'accord ! Je ne comprenais pas ! Effectivement, tu as eu de la chance, t'imagine il t'aurais vu barbouillé de glace au chocolat. Il se serait demandé si il n'avait pas engagé un fou ! » Elle rigola en le traitant de fou. Puis il lui repris la main et lui dit. « Allez, on va finir comme ça, on est presque arrivé ! » Ils couraient et elle lui dit ce qu'elle pensait de lui. Il ne répondit rien. Ce n'était pas très grave, au moins la jeune femme lui avait dit, il avait entendu et c'était le principal. « Et voilà on est arrivé, on a fait vite ! » Tu m'étonne qu'ils ont fait vite, ils n'ont pas arrêtés de courir. Ils entrèrent dans la magnifique maison de Tristan. La jeune femme, comme à son habitude, fut émerveillé devant la splendeur de cette maison. Elle le lui fit remarquer et il répondit. « La tienne aussi, mais je ne pense pas qu'après avoir frappé ton futur mari, j'aurais le droit d'y remettre les pieds ! »« Oh, ne parlons plus de lui, s'il te plais ... C'est vrai, je ne sais pas si tu pourras revenir à la maison, du moins, quand il est présent ... » Elle ne voulait pas vraiment parler de son futur mari. Elle voulait s'amuser et profiter. Puis elle le défia d'arriver premier dans la salle de bain. Elle se mit à courir, elle l'entendit se marrer puis il courut. Il la rattrapa. Il la fit tomber, sa chute fut amortit grâce à Tristan. Elle se retrouva sur lui et il en profita pour lui faire un calin. Aucun ne bougeait pendant plusieurs minutes « Ce câlin, tu me le devais pour avoir porté ton sac.. » Puis il se leva, la poussant sur le côté et se mit à courir. Elle se releva et lui courut après. Il eut assez de temps pour prendre une bombe chantilly dans la salle de bain et il lui en aspergea. Il monta les escaliers et atteins la salle de bain. « Ah t'es une grosse nulle ! Tu devras faire le ménage en prime ! » Elle entra elle aussi dans la salle de bain et le vit affalé dans la baignoire. Elle s'empara du paumeau de douche et actionna l'eau. Elle l'arrosa. « Bon alors comme t'es un p'tit bébé, faut que je t'aide c'est ça ? » Elle avança le paumeau de douche vers la figure du jeune homme. Il s'en prit pleins la figure. On pouvait voir la glace qui dégoulinait et qui retombait dans la baignoire. Elle rigola.

GIVE ME A SMILE

« Ah, et bien bravo félicitation pour les 26 clientes ! Mais bon, ton patron a choisis la mauvaise couleur ! »Elle l'applaudit et s'inclina vers lui. A l'aide de sa main, il la salua en guise de remerciement. Puis 5 minutes plus tard ils se retrouvèrent chez Tristan, où il commença déjà à reparler un peu du futur mari de la brune, comme quoi après lui avoir rendu la monnaie de la pièce qu'il avait donné à Pasha, il ne pourrait certainement plus revenir . « Oh, ne parlons plus de lui, s'il te plais ... C'est vrai, je ne sais pas si tu pourras revenir à la maison, du moins, quand il est présent ... » Tristan ne comptait pas se disputer à nouveau avec elle pour un sujet qui ne le regardait strictement pas, il tint alors sa langue par peur de dire une connerie, comme d'habitude en fait. Il donna juste une petite tape dans la tête de la brunette, et lui adressa son plus beau sourire pour lui faire comprendre qu'il n'insisterait pas sur ce sujet qui ne concernait qu'elle. Puis, elle l'entraîna dans une course folle où il la fit tomber. Une fois arrivé dans la salle de bain, Chantilly en main et fesses dans la baignoire, il se fit asperger par la jeune femme, mais il se défendait avec la Chantilly. « Bon alors comme t'es un p'tit bébé, faut que je t'aide c'est ça ? » Et une nouvelle fois encore il était partie dans un fou rire inhumain, qu'il ne pouvait gérer, il rajeunissait de 3 ans. C'est ce que tous les jeunes faisaient à son époque, ils faisaient les cons, mais ils étaient respectueux, pas comme les nouvelles générations, ils ne volaient que des petites choses sans importance comme un malabar, ils touchaient peut-être le cul des filles mais ils restaient respectueux pour toutes les autres choses. « Ah bah, si là t'es censé m'aider, t'as oublié le début ! Faut me déshabiller. Je pense que t'as plus trop envie de m'aider, hein ! » dit-il tout en arrachant la paume de la baignoire des mains de Pasha pour la retourner contre elle. ll riait toujours et ne pouvait plus s'arrêter. « Mes parents vont payer cher l'eau ! » Il prenait bien soin de la mouiller partout. Allez, un peu de shampooing maintenant ! dit-il en se levant de la baignoire, la paume du bain dans la main droite et la Chantilly dans la main gauche. Il aspergea les cheveux de la jeune femme de crème Chantilly et l'attrapa soudainement pour pouvoir s'appliquer encore plus et frotter son sois-disant shampooing. Il la tira vers la baignoire et rinça sa tête, puis il arrêta l'eau et partit en direction des serviettes, il en apporta une à la jeune-femme. « Tu vas pouvoir prendre ta douche. J'ai des vêtements pour toi, enfin c'est un cadeau de ma part quoi... » Il partit dans sa chambre, les pieds glissants, se dirigea dans son armoire et saisit un paquet soigneusement emballé. Il se trouvait à l'intérieur des vêtements ainsi que du maquillage H&M et des chaussures Richelieu. Il aimait bien prendre soin de la jeune femme et lui achetait de nouveaux cadeaux, ça n'arrivait pas quotidiennement, mais deux fois par mois à peu près. Il était assez aisé pour se le permettre en fait. Il saisit également un collier et un autre collier clé où il y était marqué "can you keep a secret ?" accompagnée d'un journal qui était rangé précautionneusement dans sa table de chevet.(voir image de début du RP) Il retourna en direction de la salle de bain et donna le paquet ainsi que les deux colliers et le journal intime. «Can you keep a secret ? Cette clé et ce journal me sont précieux, c'était le journal intime de ma grand-mère que j'ai continué en y racontant mon passé. (on y retrouve les sentiments comme dans son histoire et ainsi que son histoire, justement.) Je suis trop faible pour te le raconter moi-même. » dit-il en souriant. « Et ce collier là, il appartenait aussi à ma grand-mère, finalement c'était la seule personne qui me montrait aucun sentiments, et je me sentais bien avec elle, bien que des fois j'avais l'impression qu'elle ne m'appréciait pas, dans son journal, elle disait qu'elle m'aimait plus que tout. Quand j'ai lu ce journal j'étais vraiment touché, je n'aurais pas cru qu'elle aurait pu éprouver autant d'amour pour moi. Si je t'offre ces 3 choses auxquelles je tienne plus que tout c'est parce que aujourd'hui, tu la remplaces en quelques sortes... » Puis, il saisit le paquet de vêtements avec un énorme sourire. « Et ça je pense que ça va te plaire, j'avais l'air un peu pervers dans le rayon femme mais bon. Tu vois, je prends de très gros risques ! » dit-il d'un ton ironique. Puis après ce moment là il lui dit « Bon, je vais prendre ma douche dans la salle de bain deux portes plus loin. » Il prit sa douche tout en repensant à cette journée riche en émotion. Il se sécha les cheveux et les hydrata car entre le soleil, le chlore, la chaleur la fraîcheur, le vent, le sel, le sable, la laque, le gel, le sèche cheveux et tout autre saloperies du genre, ses cheveux commençaient à être déshydratés, et oui, il en prenait très soin. Une fois qu'il eut fini, il partit alors s'habiller et partit rejoindre la jeune-femme qui visiblement avait fini de prendre sa douche.

Lorsqu'elle s'inclina devant lui et l'applaudit pour avoir ramener vingt six clientes dans le magasins en moins de six minutes, le jeune homme la salua avec la main. Elle savait que c'était un gros dragueur et qu'avec un visage comme le sien, il faisait craquer toutes les demoiselles, femmes ou dames, de tout âge. Elle savait qu'un jour, il trouverait sa dulcinée et qu'il serait heureux avec elle. Puis ils parlèrent du fiancé de Pasha, Tristan ne répondit pas, il se contenta de lui donner une petite tête sur la tête et de lui sourire. Elle lui sourit à son tour. Puis ils se mirent tous les deux à courir comme deux gamins jusqu'à la salle de bain, puis Pasha l'aspergea d'eau pour se venger. Ils rigolèrent aux éclats, cela faisait plaisir à voir. « Ah bah, si là t'es censé m'aider, t'as oublié le début ! Faut me déshabiller. Je pense que t'as plus trop envie de m'aider, hein ! » Cela est sûr, Pasha ne voulait pas voir son ami Tristan tout nu. Cela aurait pu tout changer entre eux et créer un malaise.« Ah ah, ça c'est sûr, tu te débrouille tout seul ! » Puis il lui prit le paumeau de douche des mains et le retourna contre elle. Elle mit ses bras devant sa tête pour essayer de se protéger, car se prendre les jets d'eau en pleine figure n'est pas très agréable. « Mes parents vont payer cher l'eau ! »
« Oh pauvre petit, tu vas te faire disputer ! » Elle rigola. Il continua à l'asperger d'eau. « Allez, un peu de shampooing maintenant ! » Il se leva de la baignoire et mit de la crème chantilly dans les cheveux de la belle et il l'étala sur toute sa tête. « Ah bah bravo ! Tu vas me le payer ! » dit-elle tout en rigolant. Elle comptait se venger, mais ne savait pas encore comment. Elle se laissa faire, elle avait perdu, il avait gagné. Puis il rinça sa tête, se leva de la baignoire et se dirigea vers les serviettes et lui en tendit une. « Tu vas pouvoir prendre ta douche. J'ai des vêtements pour toi, enfin c'est un cadeau de ma part quoi... » Elle le vit passer la porte et revenir quelques secondes après avec un paquet et plusieurs petits objets. « Can you keep a secret ? Cette clé et ce journal me sont précieux, c'était le journal intime de ma grand-mère que j'ai continué en y racontant mon passé. Je suis trop faible pour te le raconter moi-même. Et ce collier là, il appartenait aussi à ma grand-mère, finalement c'était la seule personne qui me montrait aucun sentiments, et je me sentais bien avec elle, bien que des fois j'avais l'impression qu'elle ne m'appréciait pas, dans son journal, elle disait qu'elle m'aimait plus que tout. Quand j'ai lu ce journal j'étais vraiment touché, je n'aurais pas cru qu'elle aurait pu éprouver autant d'amour pour moi. Si je t'offre ces 3 choses auxquelles je tienne plus que tout c'est parce que aujourd'hui, tu la remplaces en quelques sortes... » Elle prit la clé, le journal et le collier. Elle était très touché par l'attention de Tristan. Elle se sentait un peu gêné de recevoir ces cadeaux qui semblaient compter pour Tristan. Elle ne répondit rien, le laissant continuer. « Et ça je pense que ça va te plaire, j'avais l'air un peu pervers dans le rayon femme mais bon. Tu vois, je prends de très gros risques ! » Elle déplia les habits. C'était tout simplement magnifique. Elle fut émue de recevoir tous ces cadeaux. « Oh, Tristan ... Tu n'avais pas à faire tout ça ... Je suis très touchée ... Pour les colliers et le journal, tu es sûr ? Ca a l'air de beaucoup compter à tes yeux ... Et pour les habits, ils sont magnifiques, tu as bon goût ! Je t'imagine bien au milieu des vêtements féminins ! La prochaine fois quand tu feras du shopping avec moi, j'aimerais te défier de t'habiller comme une fille et de faire du charme à la vendeuse ! » Elle rigola et lui donna un coup à l'épaule. « Bon, je vais prendre ma douche dans la salle de bain deux portes plus loin. » Il s'en alla, laissant la jeune femme seule dans la salle de bain. Elle se déshabilla et prit sa douche. Elle se lava les cheuveux, cette fois ci avec un véritable shampooing, sortit de la douche et se rhabilla. Elle sortit de la salle de bain, les cheveux encore humides et se dirigea vers la chambre de Tristan. Elle posa son sac sur son lit où elle avait soigneusement ranger le journal et la clé. Elle mit le collier de la grand-mère de Tristan autour de son cou. C'était un magnifique collier, elle l'adorait La grand-mère de Tristan devait avoir bon goût. Elle regarda la chambre quand elle tomba soudain sur la guitare de Tristan. Elle la prit, s'assit sur son lit et commença a gratter. Mais cela produisit des sons horribles, cela la fit rire. Puis Tristan entra dans la chambre à son tour et la vit avec sa guitare. Elle savait que sa guitare était un objet cher à ses yeux, alors elle faisait attention à ne pas la casser, mais elle savait aussi que Tristan lui faisait confiance. Elle n'avait juste pas intérêt à briser cette confiance. Elle le regarda, accoudé sur le pas de la porte et lui dit. « Dis donc, faudra qu'un jour tu m'apprenne à jouer de la guitare, moi aussi je veux savoir faire de la musique ! » Elle tapa avec sa main sur le lit de Tristan pour lui dire de venir s'asseoir à coté d'elle. « Tout à l'heure, t'as pas dit que tu me jouerais quelque chose ? » Elle le regarda avec des yeux de merlans fris, comme pour le supplier. Elle adorait la musique, et elle était très fan de celle de Tristan.

« Tu sais, je ne le regretterai pas, temps que tu ne me rendras pas ce journal et ces colliers, ça veut dire que tu m'aimes encore comme ton frère. Mais le jour où tu me rendras ce sera comme pour me dire au revoir. Tu comprends ? » Elle acquiesça et dit. « Tu es vraiment sûr de vouloir me les donner ? Car je ne te les redonnerais jamais alors ! » Elle lui sourit. Elle ne comptait pas lui rendre, car leur relation était très importante pour elle. « Pour les habits, j'ai toujours aimé les filles habillées comme ça, d'ailleurs c'est ton style. Prends-le pour un compliment. Question drague, tu peux compter sur moi, on ira, et quand tu veux, mais tout de suite c'est peut-être trop tard non ? Mais on peut y aller dès que tu veux, hein, je suis ouvert à toutes propositions. Bon, je vais prendre ma douche, je suis pas loin, deux portes plus loin. » Elle lui sourit.« Merci pour le compliment ! Ouais, tout de suite c'est trop tard, mais j'ai hâte de te voir à l'oeuvre ! Ok, bonne douche ! » Il quitta la pièce, ferma la porte et Pasha prit sa douche. Après cela, elle se dirigea vers la chambre de Tristan et l'attendit. Elle mit le collier de la grand-mère de Tristan et attrapa sa guitare. Elle le vit arriver, il s'appuya contre la porte et elle lui dit qu'il faudrait qu'il lui apprenne à jouer de la guitare. « Ah ah, t'essaies de gratter un peu ? Pshh, c'est pas comme ça. Laisse faire le pro ! » Il rigola et Pasha le suivit. C'est vrai que c'était un pro de la guitare, d'ailleurs, elle l'admirait de savoir aussi bien jouer. Elle lui dit qu'il lui avait promis tout à l'heure de lui jouer un morceau. Il s'assit de l'autre côté du lit et prit la guitare des mains de Pasha et se mit à jouer What Make You Beautiful. Il la chantait à merveille. Puis il se mit à chanter I Should've Kissed you. Cela a eut le don de faire frissonner la jeune femme. Il arrêta de chanter et s'approcha d'elle, il fut de plus en plus proche. Il posa ses lèvres délicatement sur celle de la jeune demoiselle. Elle se laissa faire. Ce fut un baiser passionné. Son coeur s'accéléra, elle ne comprit pourquoi. D'ailleurs, elle ne l'avait pas rejeter. C'est vrai qu'elle adorait Tristan et qu'elle le trouvait craquant, mais la situation de la jeune femme ne lui permettait pas de faire ça. Sur le moment, elle n'y pensa pas, elle oublia tout. Elle sentit les mains du jeune homme sur son visage. Elle frissonna. « Je suis désolée, mais j'arrive pas à me contrôler... T'avais le droit de me repousser... » Elle le regarda, abasourdi. « C'est pas grave ... Je ... Je ne sais pas pourquoi je ne l'ai pas fait ... » Puis il s'installer près d'elle, elle fut entre ses genoux.« Je vais t'apprendre, tu verras ça va sonner différemment. » Il plaça les doigts de la jeune femme correctement sur la guitare. « Ca fait toujours mal aux doigts... Tu risques d'avoir des ampoules. » « Oh, ce n'est pas grave ... » Il l'embrassa au cou. La jeune femme frissonna de nouveau. Elle ne comprenait pas ses réactions, c'était étrange. « Je t'aime.. » lui chuchota t-il à l'oreille et il posa sa tête sur son épaule. Son coeur battit à cent à l'heure. Elle ne savait pas quoi faire, le baiser l'avait totalement troublé.« Tristan ... » Elle posa la guitare sur le lit et se tourna vers lui. Ils furent maintenant face à face. « On ne peut pas ... » Elle baissa la tête, essayant de réfléchir, mais c'était comme si neurones étaient grillés, ils ne fonctionnaient plus. Elle releva la tête et vit que Tristan la regardait. Elle se sentit rougir. « Tu me trouble ... » Elle n'osa plus le regarder, fuyant son regard, essayant de faire fonctionner son cerveau qui l'avait lâché depuis quelques minutes. Son coeur battait encore très vite, il ne voulait pas ralentir. Elle perdait le contrôle sur ses émotions. Elle le regarda dans les yeux, elle fit très gênée et dans un élan totalement non contrôlé, elle lui chuchota. « Embrasse moi ... »

tout en douceur j'ai trouvé les mots qui sauraient t'apaiser
j'ai au bout des lèvres, des mots invincibles, inventés pour celles, qui se sentent invisibles... que l'écran se crève, si c'est difficile, mais la gloire est brève, et la chute est terrible

Après avoir chanté quelques chansons, il s'approcha d'elle et l'embrassa passionnément. C'était certainement mal placé, mais il l'aimait, c'était sûr. Finalement, il avait peut-être besoin de s'exprimer, de faire ce que jamais il aurait pu faire, vu qu'elle n'était pas amoureuse de Tristan. Il posa ses mains sur le visage de la jeune-femme, elle ne le repoussait pas, alors il en profitait, il continua ce baiser. Une fois fini, le visage à quelques millimètres de Pasha, il chuchota : Je suis désolée, mais j'arrive pas à me contrôler... T'avais le droit de me repousser... Elle avait l'air abasourdie. C'est pas grave ... Je ... Je ne sais pas pourquoi je ne l'ai pas fait ... Il avait toujours une de ses mains posée sur la joue de la belle, il baissa les yeux et dit Peut-être que... A ce moment il tourna la tête vers sa droite, enlevant brusquement sa main. Non, rien. Il tourna alors sa tête face à la fenêtre avant de faire asseoir la brunette entre ses jambes pour lui apprendre à jouer de la guitare. Il lui disait qu'elle aurait certainement des ampoules, et elle lui vaia t répondu que ça n'était pas grave. Il en profita pour sentir son parfum, doux et sucré, comme il aimait, et l'embrasser dans son cou. Je t'aime. Tristan sentit le coeur de la jeune-femme s’accélérer. Tristan... Elle posa alors la guitare à côté d'elle sur le lit. Elle se retourna, face à lui, il en profita donc pour poser ses mains sur ses hanches. On ne peut pas ... A ses paroles, il s'allongea complètement sur le lit tout en la tirant sur lui. Elle était donc sur lui. Il lâcha alors un petit rire. C'est déjà un bon début, tu parles de nous. Il sourit à pleine dents, les yeux vers le plafond. Tu me troubles... Il lâcha une fois de plus un rire nerveux et attrapa son oreiller tout en disant. Comme d'habitude ! ♫ dit-il d'un air joyeux, car il ne disait pas ça pour être méchant. Il posa alors l'oreiller sur son visage pour se couper en quelques sortes du monde pendant quelques secondes, puis il l'enleva. Il avait accès à une mèche de la jeune Pasha alors il l'attrapa et joua avec, l'entortilla autour de son doigt. Embrasse moi... Il fut assez surpris, et ne s'exécuta pas tout de suite. C'est pas toi qui disait qu'on pouvait pas ? Il souffla alors un bon coup. Elle était appuyée sur son ventre, d'ailleurs elle ne gênait absolument pas Tristan. Il l'enlaça et l'embrassa une fois de plus. Tu veux pas qu'on essaie, tous les deux ? dit-il avec un air de chien battu.

Il l'embrassa et elle se laissa faire. D'ailleurs, il le lui reprocha. C'est vrai, elle ne l'avait pas repoussé, c'était bizarre. Elle lui avait d'ailleurs dit qu'elle ne savait pas vraiment pourquoi elle ne l'avait pas fait. « Peut-être que.. » Il enleva brusquement sa main de la joue de Pasha-Luz. « Non, rien. » Puis il l'a prit entre ses jambes pour lui apprendre à jouer de la guitare et lui chuchota un 'je t'aime' qui troubla la jeune femme. Elle posa la guitare sur le lit et se tourna vers lui. Elle lui dit qu'entre eux ce n'était pas possible. Tristan l'attrapa et elle se retrouva sur lui. Il rigola et lui dit. « C'est déjà un bon début, tu parles de nous. » Elle ne répondit rien. Puis elle lui dit qu'il la troublait, il lui répondit « Comme d'habitude » Avec l'air de la célèbre chanson. Puis il attrapa un oreiller et se cacha pendant quelques secondes. La jeune femme resta sur lui, le regardant faire. Puis il lui attrapa une mèche de cheveux et joua avec. Elle lui demanda ensuite de l'embrasser. Il ne s’exécuta pas de suite. « C'est pas toi qui disait qu'on pouvait pas ? » Ce n'était pas faux. Elle venait de lui dire qu'entre eux ce n'était pas possible quelques minutes auparavant. Il souffla, l'enlaça et se décida à l'embrasser. « Tu veux pas qu'on essaie, tous les deux ? » Elle se releva et s'assit en tailleur sur le lit. Elle réfléchissait, enfin elle faisait ce qu'elle pouvait, car son cerveau avait disjoncter. « Je ne sais pas ... Je suis perdue ... » Elle se caressa les cheveux, les yeux dans le vide. Puis elle ajouta « Je sais plus, je pensais ressentir que de l'amitié pour toi, mais ce premier baiser m'a troublé et le second encore plus ... Je ne comprend pas ... » Puis elle pensa à son futur époux. Même si elle n'éprouvait pas de sentiments amoureux pour lui, elle l'adorait. « Et puis il y a Harry ... » La pauvre jeune femme ne savait plus où donner de la tête .. Puis elle entendit un bruit vers la fenêtre. « Oula y a un bruit bizarre vers la fenêtre »

de toi à moi il y a des choses qui ne s'expliquent pas ♫

Après avoir fait en quelques sortes la morale à Pasha qui d'habitude lui faisait tout le temps, il l'embrassa à nouveau, comme à sa demande d'ailleurs. Il lui demanda alors si elle ne voulait pas que tous les deux essaient de se mettre en couple juste pour essayer. Il la regarda se redresser pour se mettre en tailleur, alors il fit de même quelques secondes plus tard et appuya sa tête sur les épaules de la jeune femme. Je ne sais pas ... Je suis perdue ... Je sais plus, je pensais ressentir que de l'amitié pour toi, mais ce premier baiser m'a troublé et le second encore plus ... Je ne comprend pas ... Il la regardait depuis quelques secondes déjà en train de se caresser les cheveux, il voulait les toucher lui aussi même s'il en avait déjà eu l'occasion, alors c'est ce qu'il fit. Ils étaient doux au touché et brillants, elle les entretenait merveilleusement bien. Il mit alors sa main sur la sienne pour la rassurer. J'comprends, c'est ce que ça m'a fait aussi. Alors on laisse tout ça de côté ; on en reparlera dès que tu auras réfléchi. A l'aide de sa main, comme il avait l'habitude de faire, il tourna la tête de la jeune femme vers lui pour croiser ses grands yeux marrons, tout ça à l'aide de ses mains. Puis il ferma les yeux et l'embrassa une dernière fois. C'est la dernière fois que je t'embrasse, j'en aurai sûrement plus l'occasion apreès... dit-il tout en détournant le regard vers sa droite. Et puis il y a Harry ... Il l'arrêta tout de suite et leva légèrement le ton. Tu sais déjà ce que j'en pense ! Mais il prit soin de ne pas s'emporter pour ne pas effrayer la jeune femme en face de lui, déjà assez perdue. Puis ils entendirent un bruit bizarre en direction de la fenêtre, il le reconnut mais il ne dit rien car cela n'avait pas encore percuté son cerveau. Oula y a un bruit bizarre vers la fenêtre Il se dirigea alors vers celle-ci et l'ouvrit, il savait déjà ce qui se trouvait derrière celle-ci : son chat, Tigrou, tigré justement comme un tigre, et oui ! Alors il le saisit et se dirigea vers Pasha. Voici le coupable ! Il s'appelle Tigrou, je te l'ai jamais présenté. Tigrou voici Pasha, Pasha voici Tigrou Puis à l'aide de la patte du chat il la fit bouger de gauche à droite Enchantée mad'moizelle dit Tristan d'une fois spéciale, se faisant passer pour le chat. Il le déposa dans les bras de Pasha et se rassit à côté d'elle. Il est mignon hein... Je l'ai trouvé dans un carton sous la pluie y a une semaine. J'ai eu pitié, j'ai craqué et je l'ai pris. Je le nourris au biberon, tu veux essayer ? En même temps on va se faire des crêpes en bas ?

Après l'avoir embrassé, elle se releva et s'assit en tailleur. Il fit de même et mit sa tête sur l'épaule de la jeune femme. Elle lui dit qu'elle était très troublé après ces deux baisers, qui avaient eu le don de la faire frissonner. Il lui caressa les cheveux puis mit sa main sur la sienne. « J'comprends, c'est ce que ça m'a fait aussi. Alors on laisse tout ça de côté ; on en reparlera dès que tu auras réfléchi. » Elle acquiesça. Il fallait qu'elle réfléchisse effectivement. Elle allait peser le pour et le contre. Il redressa sa tête et l'embrassa une nouvelle fois. LA jeune femme se laissa faire. Cette fois ci, elle caressa la nuque du jeune homme et toucha ses cheveux. Ce fut un baiser assez passionnel. « C'est la dernière fois que je t'embrasse, j'en aurai sûrement plus l'occasion après... » Il détourna le regard. Pasha ne savait pas vraiment quoi lui répondre. Elle était assez gênée de la tournure des évènements. Puis elle parla de Harry. Tristan haussa un peu la voix. « Tu sais déjà ce que j'en pense ! » Elle savait très bien que Tristan ne pouvait pas supporter Harry. Il lui avait toujours dit qu'elle méritait mieux que ce bourgeois colérique. A vrai dire, il n'avait pas tord, mais elle faisait ça pour sa survie et celle de sa famille. Puis il y eut un bruit bizarre en provenance de la fenêtre. Tristan alla voir et il prit un chat dans ses bras. « Voici le coupable ! Il s'appelle Tigrou, je te l'ai jamais présenté. Tigrou voici Pasha, Pasha voici Tigrou. » C'était un petit chaton tigré, il était adorable. « Oh, il est trop chou ! » Elle regarda le chat avec admiration. Puis Tristan attrapa la patte du chat et la bougea de droite à gauche, comme si Tigrou faisait coucou. « Enchantée mad'moizelle » Tristan avait transformé sa voix pour faire celle de Tigrou, elle rigola. « Enchanté Tigrou ! » Elle attrapa délicatement sa petite patte et la secoua. Elle rigola. Puis le jeune homme déposa le chat dans les bras de Pasha, elle caressa le chat. « Je l'ai trouvé dans un carton sous la pluie y a une semaine. J'ai eu pitié, j'ai craqué et je l'ai pris. Je le nourris au biberon, tu veux essayer ? En même temps on va se faire des crêpes en bas ? » « Ouais d'accord ! » Ils se levèrent alors du lit et descendirent les escaliers. Ils passèrent par la salle à manger et elle déposa le petit chaton sur le sofa, puis ils se dirigèrent vers la cuisine. C'était une superbe cuisine, toute équipée, avec pleins de placards, d'étagères, et un grand frigo. « Tu t'occupe de faire le biberon pour le chat et je commence les crèpes ? » Elle ne lui laissa pas le temps de répondre qu'elle partit à la recherche d'un saladier, de la farine. Elle connaissait bien la cuisine de Tristan et trouva ces ingrédients en quelques secondes. Elle vit Tristan verser le lait dans le biberon, et lui donna un petit coup de coude. Il en versa à côté. « Oups, j'ai pas fait exprès ! » dit-elle tout en rigolant. Bien sûr que si elle l'avait fait exprès. Elle attendit que Tristan finisse de remplir le biberon et lui enleva la bouteille de lait des mains. « Désolé, j'en ai besoin ! » Dit-elle avec un sourire moqueur. Elle ouvrit la porte du frigo et prit quelques oeufs. Elle alla sur le plan de travail de la cuisine et commença à verser la farine dans le saladier. Sauf que Tristan se vengea et lui donna un coup de coude, elle en mit un peu à côté. « Ah ouais d'accord ! Tu veux jouer à ça ? » Elle attrapa une poignée de farine et lui balança à la figure. Elle explosa de rire. Il fit de même, Pasha commença à courir dans la cuisine, mais il lui lança la farine en pleine figure. Elle reprit une poignée de farine et la lança, sauf que cette fois ci, elle rata. La farine atterrissait par terre. Elle vit Tristan attraper un des oeufs avec rapidité. « Non, pitié, pas l'oeuf ! » Elle créa un bouclier à l'aide de ses mains. Par chance, Tristan la loupa. « Tu m'a loupé ! Nanananèèreeeuh ! » Elle lui tira la langue et rigola. Puis il l'attrapa. Elle fut dans ses bras. Elle mit ses bras autour de la taille du jeune homme, le regarda dans les yeux. « J'ai réfléchi ... C'est d'accord ! Je t'adore tellement, je passe de super bon moment avec toi, puis je n'ai qu'une vie, il faut que j'en profite ! » Elle le regarda dans les yeux, et lui caressa la tête, toucha ses cheveux.